Joseph PIERSON

On ne sait presque rien de Joseph PIERSON, ni vraiment d’où il venait ni ce qu’il est advenu de lui. On sait seulement qu’il est né en décembre 1841 et qu’il fut intégré à l’AP aussitôt (n°3615 de 1841). Après avoir été envoyé à Béthune (62) quelques jours après son intégration et où il passaPoursuivre la lecture de « Joseph PIERSON »

Eugène COLLOTTE

Parmi tous les enfants de la Colonie, il en est auxquels on ne peut s’empêcher de s’attacher un peu plus. C’est le cas, pour moi, d’Eugène COLLOTTE (n°357 de 1842). Né à Paris en 1842, il fut très vite envoyé en nourrice à Château-Chinon (58) où il passa toute son enfance. Sans doute s’est-il renduPoursuivre la lecture de « Eugène COLLOTTE »

Les infirmes, malades ou « idiots » – 2

Voici deux exemples d’enfants du Département : LOUIS ou Louis GABARD dit Emilien REFORT, né en 1867 (n°1431 de 1867), il fut placé dans plusieurs familles du Département avant d’arriver à la Colonie en 1883. Il y resta 2 ans, avant d’être placé comme valet de ferme dans un village du Département en mars 1885.Poursuivre la lecture de « Les infirmes, malades ou « idiots » – 2″

Les infirmes, malades ou « idiots » – 1

Voici deux exemples d’enfants de l’Assistance publique (AP) parisienne. Ambroise Auguste LEMAIRE, né en 1839 (n°2473 de 1839), il fut placé dans l’arrondissement de Châteaudun (58) jusqu’à l’âge de 15 ans lorsqu’il fut envoyé à la Colonie. Il y resta jusqu’en septembre 1857. En effet, le directeur avait évoqué le cas d’Ambroise dans son courrierPoursuivre la lecture de « Les infirmes, malades ou « idiots » – 1″

Ernest FERRAND

Ernest, Louis, Léon FERRAND, né en 1865 (n°2202 de 1874) à Paris, il s’est rendu coupable de complicité de parricide, ce qui peut paraître improbable pour un enfant « né de père inconnu » selon l’état-civil. En réalité, le père d’Ernest et de ses 2 frères était parfaitement connu, il s’agissait d’Honoré CHEVALLEREAU qui vécut avec laPoursuivre la lecture de « Ernest FERRAND »

Les ESCOFFIER

Deux anciens colons répondant au nom d’ESCOFFIER et originaires de la Seine furent envoyés au bagne de Nouvelle-Calédonie. Un lien de parenté éventuel est très difficile à établir en raison des lacunes de l’état-civil parisien. Nous pouvons cependant douter d’une parenté directe étant donné que ce nom était assez fréquent et que l’un de cesPoursuivre la lecture de « Les ESCOFFIER »

Augustin BOIS

Il y eut quelques bagnards parmi les anciens colons, envoyés en Guyane ou en Nouvelle-Calédonie. Augustin BOIS, né en 1834 (n°4772 de 1834), il fut placé pendant plus de 12 ans dans le Département, dans deux familles différentes. Augustin arriva ensuite à la Colonie en janvier 1851, à 16 ans, parmi les premiers envoyés dansPoursuivre la lecture de « Augustin BOIS »

Edmond MUNTZ

Edmond MUNTZ, né en 1869 (n°462 de 1872). Enfant légitime venant d’une grande commune du Département, il intégra le service des enfants assistés en tant qu’orphelin à 2 ans, bien que sa mère ne décéda qu’après son intégration ! Placé chez son oncle dans cette même commune, il arriva à la Colonie en 1882 àPoursuivre la lecture de « Edmond MUNTZ »

L’usurpateur d’identité

Louis PECHTEL, né en 1843 (n°1027 de 1843) à Paris, il partit vivre dans l’arrondissement de Béthune (62) dès ses premiers jours. Il y resta jusqu’au premier convoi vers la Colonie en avril 1855. Il en sortit en 1860 et fut réintégré à l’AP avant de passer un mois aux « Jeunes détenus ». Après cela, c’estPoursuivre la lecture de « L’usurpateur d’identité »

Les récidivistes

Certains jeunes colons sont passés par la case prison (« Jeunes Détenus » à la prison de la petite Roquette, ou d’autres maisons d’arrêt) ou par le bagne, alors plus âgés. Ils sont loin d’être majoritaires parmi les anciens colons, même si on peut noter une léger biais parisien : les enfants de la Seine étaient assezPoursuivre la lecture de « Les récidivistes »