1875-1887 : le maintien puis la chute

Après la mort du directeur de la Colonie et propriétaire du domaine avec son épouse, il fallut agir vite pour maintenir l’établissement à flots. En avril 1875, le domaine fut vendu à un baron local, également conseiller général et représentant à l’Assemblée nationale (puis député). Les vendeurs étaient conjointement l’épouse du défunt directeur et lesPoursuivre la lecture de « 1875-1887 : le maintien puis la chute »

1861-1875 : un nouveau souffle ?

Suite au départ des Parisiens, l’effectif des jeunes colons baissa brusquement. De près d’une centaine, les élèves de la Colonie passèrent à 50, uniquement du Département. Quelques années plus tard, ce n’était plus que 42 élèves du Département qui y étaient conservés en permanence chaque année. Dès 1868, le Département ne plaçait plus qu’une petitePoursuivre la lecture de « 1861-1875 : un nouveau souffle ? »

1855-1861 : les années parisiennes

A partir de 1855, la Colonie accueillit des enfants assistés de l’Assistance publique parisienne. En effet, depuis 1853 le service s’occupant des enfants assistés (dits « trouvés » à l’époque) au sein de la Préfecture de la Seine cherchait à placer des enfants difficiles dans des colonies agricoles de province. L’AP envoyait traditionnellement les enfants orphelins ouPoursuivre la lecture de « 1855-1861 : les années parisiennes »

1848-1855 : les débuts de la Colonie

En 1848, cela faisait déjà quelques années que l’on débattait de projets de fermes-écoles au niveau local et national. Une législation encadrant leur érection était à l’étude, attisant les intérêts des propriétaires terriens du Département. Enfin, le décret du 3 octobre 1848 parut. Il établissait trois niveaux d’enseignement agricole : les fermes-écoles pour l’instruction élémentairePoursuivre la lecture de « 1848-1855 : les débuts de la Colonie »