Ernest FERRAND

Ernest, Louis, Léon FERRAND, né en 1865 (n°2202 de 1874) à Paris, il s’est rendu coupable de complicité de parricide, ce qui peut paraître improbable pour un enfant « né de père inconnu » selon l’état-civil. En réalité, le père d’Ernest et de ses 2 frères était parfaitement connu, il s’agissait d’Honoré CHEVALLEREAU qui vécut avec laPoursuivre la lecture de « Ernest FERRAND »

Les ESCOFFIER

Deux anciens colons répondant au nom d’ESCOFFIER et originaires de la Seine furent envoyés au bagne de Nouvelle-Calédonie. Un lien de parenté éventuel est très difficile à établir en raison des lacunes de l’état-civil parisien. Nous pouvons cependant douter d’une parenté directe étant donné que ce nom était assez fréquent et que l’un de cesPoursuivre la lecture de « Les ESCOFFIER »

Augustin BOIS

Il y eut quelques bagnards parmi les anciens colons, envoyés en Guyane ou en Nouvelle-Calédonie. Augustin BOIS, né en 1834 (n°4772 de 1834), il fut placé pendant plus de 12 ans dans le Département, dans deux familles différentes. Augustin arriva ensuite à la Colonie en janvier 1851, à 16 ans, parmi les premiers envoyés dansPoursuivre la lecture de « Augustin BOIS »

Edmond MUNTZ

Edmond MUNTZ, né en 1869 (n°462 de 1872). Enfant légitime venant d’une grande commune du Département, il intégra le service des enfants assistés en tant qu’orphelin à 2 ans, bien que sa mère ne décéda qu’après son intégration ! Placé chez son oncle dans cette même commune, il arriva à la Colonie en 1882 àPoursuivre la lecture de « Edmond MUNTZ »

L’usurpateur d’identité

Louis PECHTEL, né en 1843 (n°1027 de 1843) à Paris, il partit vivre dans l’arrondissement de Béthune (62) dès ses premiers jours. Il y resta jusqu’au premier convoi vers la Colonie en avril 1855. Il en sortit en 1860 et fut réintégré à l’AP avant de passer un mois aux « Jeunes détenus ». Après cela, c’estPoursuivre la lecture de « L’usurpateur d’identité »

Les récidivistes

Certains jeunes colons sont passés par la case prison (« Jeunes Détenus » à la prison de la petite Roquette, ou d’autres maisons d’arrêt) ou par le bagne, alors plus âgés. Ils sont loin d’être majoritaires parmi les anciens colons, même si on peut noter une léger biais parisien : les enfants de la Seine étaient assezPoursuivre la lecture de « Les récidivistes »